La petite fille qui regardait le Bosphore
Cette histoire dramatique est avant tout une histoire d’amour.
Histoire vécue, très spéciale, prenant naissance dans le monde Sadomasochiste sous le patronage de Maîtresse Françoise, La Reine ainsi que l’auteur la nomme.
Hugo et Marine vont se découvrir, jouer, participer à des soirées « sulfureuses » pour finir par s’aimer.
Elle, jeune femme hyperactive, brillante étudiante transfuge de la communauté juive d’Istanbul, généticienne de haut
niveau et…mariée et mère de deux garçons.
Lui, cadre supérieur, universitaire, marié aussi et dominateur.
Ils vivront neuf mois d’une passion dévorante, mélangeant le plaisir, la tendresse, les voyages et les jeux sadomasochistes. Elle ne peut s’abandonner que dans la souffrance, il la veut épanouie, apaisée par le fouet qu’elle aime infiniment et offerte à ses pulsions.

Ils vont s’aimer à la folie, se déchirer parfois, se retrouver comme sur cette aire de Barcelone sur l’autoroute de l’Esterel où ils échangent une promesse et dans cet hôtel de Nice où elle s’abandonnera totalement à son désir. Elle lui demandera un enfant, tentera de s’extraire de la gangue étouffante de son mariage et finira par renoncer et en mourra, harassée par un divorce qu’elle devine impossible. Il la pleurera et mettra vingt longues années à finir d’édifier ce mausolée de papier pour célébrer infiniment cette femme qui ne l’a jamais quitté.

Pierre March a un long vécu de DRH, dans des entreprises de tailles diverses. Universitaire, juriste et littéraire, il écrit à trente ans un polar destiné au Prix du Quai des orfèvres. Il sera recalé au deuxième tour -quelques scènes un peu trop érotiques- au goût d’une de membres du jury.


Il passe beaucoup de temps à lire, depuis son adolescence et prend la plume pour se libérer? d’une passion dramatique qui le marque durement.
Homme de l’écrit, au soir de sa vie, il accède à la demande de son éditeur et prend la tête du catalogue de la maison d’édition  » Le Four Banal » .
Il continue à écrire et son prochain livre  » Le téléphone du vent » livrera des souvenirs d’enfance bien particuliers.