Laurence DIONIGI

L’Erotisme dans l’art
Il a toujours intrigué et suscité moults débats oscillant entre voyeurisme, esthétisme, curiosité, admiration ou provocation. Sujet parfois à moquerie ou à dégoût, toutes les civilisations ont représenté sous diverses formes artistiques le désir, la sensualité, l’amour ou l’acte sexuel dans sa plus simple expression. Véritables témoignages des valeurs morales, des mœurs et des canons de beauté des époques passées, les œuvres érotiques permettent également de comprendre et notamment de situer la place des femmes dans la société d’hier et d’aujourd’hui à travers leurs différentes représentations. Plus de 80% des nus représentés en peinture et en sculpture sont des femmes. L’érotisme semble donc être une affaire d’hommes.

« C’est toute l’histoire de l’art qui doit être reconsidérée à partir des femmes comme sujets, y compris dans les rôles d’objets de phantasmes où tant d’entres elles ont si longtemps été cantonnées. Laurence Dionigi s’y attèle aujourd’hui, s’inscrivant ainsi dans les courants les plus en pointe de la réflexion sur l’art dans ses rapports avec la société. »
Eliane Viennot professeure émérite de littérature, linguiste et historienne.

Ces muses étaient-elles aimées, respectées, adulées ou idéalisées pour faire fantasmer à ce point la gent masculine ? Mais qu’est-ce qu’une œuvre érotique ? Qui étaient ces peintres ou sculpteurs qui se jouaient des sens du spectateur ? Quelle a été la première œuvre à avoir été ainsi qualifiée ? A quand remonte cette fascination du corps ? Comment l’homosexualité masculine et féminine était-elle abordée ? Des Vénus de la Préhistoire aux éphèbes grecs, du scandaleux tableau « L’origine du monde » de Courbet et de son pendant « L’origine de la guerre » d’Orlan en passant par les troublantes représentations de Léda et le Cygne, aux mœurs libertines du XVIIIème siècle ou aux performances sadomasochistes des féministes des années 1970 jusqu’au Street art en plein émoi dans nos rues, l’érotisme invite à la considération de la place de la sexualité dans notre société. C’est ce que cet ouvrage tend à illustrer chronologiquement en s’attachant à étudier essentiellement l’art européen et en particulier français, son évolution et transformation au fil des siècles.

Opération d’encre et d’azur
A travers ce roman historique, Laurence Dionigi nous fait revivre les années de reconstruction de l’après 2ème guerre mondiale dans une France en pleine période de début de guerre froide. Partie à la recherche de son tortionnaire, l’ex-résistante Victoire Montegridolfo, découvrira l’existence de la banque monégasque nazie « Charles & Co » tout comme de lourds secrets bien gardés où les intérêts politico-financiers se mêlent étroitement.

L’auteure : Laurence Dionigi
Laurence Dionigi
est autrice de romans, de sketches. Elle milite notamment pour les droits de la femme. Après les Grandes Oubliées de l’Art et Féminin en Art Majeur, elle aborde la question de l’érotisme en restituant dans son contexte la place de ces Vénus adulées et fantasmées dans l’histoire de l’Art. Laurence Dionigi s’est inspirée des récits et anecdotes racontés par sa famille qui a vécu les heures sombres de la Côte d’Azur sous l’occupation pour écrire ce roman historique. L’autrice a publié une dizaine d’ouvrages, anime des conférences et organise des cafés culturels. Elle s’est installée à Nice en 2002 après avoir vécu 10 ans l’étranger.

L’auteure livre une autre vision de l’histoire, notamment celle de Monaco sous l’Occupation, sujet rarement abordé dans les romans. Laurence Dionigi travaille dans le secteur bancaire monégasque depuis 14 ans. Elle a publié une dizaine d’ouvrages, anime des cafés littéraires et des conférences.

La légende de la baie des couleurs
Qui manipule la résistante Marie-Louise Torrioni et dans quels objectifs ? Pourquoi Jean Moulin a-t-il exposé cette énigmatique toile dans sa galerie d’art à Nice ? Qui est donc cette femme qui pose sur cette photo de mariage aux côtés de son époux ? Pourquoi le commandant Swarft n’a-t-il pas transféré Marie-Louise au siège de la Gestapo à l’Hôtel de l’Hermitage ?

Notre héroïne, employée à la Préfecture, se retrouvera, malgré elle, entraînée dans une histoire rocambolesque qui la conduira dans le milieu artistique sous la 2nde guerre mondiale où elle mènera une enquête sur le mystérieux tableau « la Baie des couleurs » tout en s’employant à découvrir la vérité sur son mari parti rejoindre la résistance. Cet ouvrage repose sur une multitude de faits historiques et anecdotes véridiques qui se sont déroulés dans la région niçoise qui a connu l’occupation italienne puis allemande. L’intrigue liée à la recherche du tableau « la Baie des couleurs » n’est, en revanche, que pure fiction.
ISBN 978-2-36392-286-1 : 16,00 €

Les grandes oubiées de l’art
Cet ouvrage aborde sans détour la question de la place des femmes dans l’Art : pourquoi et comment ont-elles été effacées de la mémoire collective artistique depuis des siècles et ce, même encore de nos jours ? Dans une première partie, l’histoire de l’éducation des jeunes filles liée à l’acquisition de leurs droits civiques est retracée. Dans un 2ème chapitre, une biographie concise de ces principales ‘ »oubliées du pinceau » est proposée de l’Antiquité à nos jours.

Le ton de cette réflexion ne se veut pas féministe mais simplement factuel car l’objectif principal des GRANDES OUBLIÉES DE L’ART est de faire  connaître au grand public l’existence de ces nombreuses femmes artistes ainsi que d’inciter chacun à repenser l’histoire et pas seulement celle de l’Art.
Extrait du 4ème de couverture rédigé par la galeriste Eva Vautier :  » La lecture de ce manuscrit a confirmé ma réelle passion pour ces femmes artistes et le message qu’elles nous ont transmis. Même si cette information se cache dans un des méandres de notre esprit, il est frappant de constater à quel point les femmes ont dû se battre sinon pour peindre, au moins pour se faire reconnaître en tant qu’artiste peintre et ce depuis toujours. 

La série des Yanou Pilou. Yanou Pilou est une marque déposée

Yanou Pilou est un petit garçon qui ne souhaite pas partager l’amour de sa maman depuis que Pachou est entré dans leur vie. Il a donc décidé de lui rendre la vie impossible.

La vie de Yanou pilou s’est retrouvée chamboulée depuis que Madio a commencé un nouveau travail. Rien n’est plus comme avant. Madio est de mauvaise humeur et toujours pressée, la maison est en désordre…Yanou Pilou est désorienté. L’argent fait-il réellement le bonheur ? C’est ce que le petit garçon va découvrir.

Pilou est fâché avec l’eau et déploie des trésors d’imagination pour ne pas se laver ou conserver ses vêtements sales car le petit garçon a décrété qu’il était né propre. Mais un jour, il revient de l’école en pleurant…